photo D'après une histoire vraie

D'après une histoire vraie

Musique, Danse - Bal - Cabaret

Dijon 21000

Le 01/04/2025

Mené par une musique pulsatile et percutante, D’après une histoire vraie traduit les états physiques et mentaux d’un groupe de danseurs masculins: un spectacle entre solidarité et vulnérabilité, force et délicatesse. D’après une histoire vraie émane d’un souvenir de Christian Rizzo : celui d’une ronde improvisée constituée d’hommes que le chorégraphe a aperçue à Istanbul. En revisitant ce souvenir, en lui ajoutant les rythmes et l’atmosphère sonore produits par deux batteries entêtantes, l’artiste réinvente cette forme- mémoire et travaille une écriture chorégraphique hybride. Émargeant à des catégories aussi diverses que les traditions folkloriques méditerranéennes, la musique rock, la danse contemporaine, le rituel tribal, ou les musiques de spiritualité, D’après une histoire vraie vibre d’une masculinité propre, qui trouve à s’exprimer bien loin des idées reçues.

photo D'après une histoire vraie

D'après une histoire vraie

Dijon 21000

Le 01/04/2025

Mené par une musique pulsatile et percutante, D’après une histoire vraie traduit les états physiques et mentaux d’un groupe de danseurs masculins: un spectacle entre solidarité et vulnérabilité, force et délicatesse. D’après une histoire vraie émane d’un souvenir de Christian Rizzo : celui d’une ronde improvisée constituée d’hommes que le chorégraphe a aperçue à Istanbul. En revisitant ce souvenir, en lui ajoutant les rythmes et l’atmosphère sonore produits par deux batteries entêtantes, l’artiste réinvente cette forme- mémoire et travaille une écriture chorégraphique hybride. Émargeant à des catégories aussi diverses que les traditions folkloriques méditerranéennes, la musique rock, la danse contemporaine, le rituel tribal, ou les musiques de spiritualité, D’après une histoire vraie vibre d’une masculinité propre, qui trouve à s’exprimer bien loin des idées reçues.

photo ¡ Viva ! | Manuel Liñán

¡ Viva ! | Manuel Liñán

Dijon 21000

Le 08/01/2022

On peut assister à ¡ Viva ! en se laissant porter par l’énergie pure qui s’en dégage. Nul besoin d’être spécialiste pour être saisi : la danse gitane porte en elle une part immédiate d’universel. L’élégance, la puissance de la composition de Manuel Liñán (encore peu connu en France mais déjà salué en Espagne comme l’un des nouveaux maîtres du genre) justifient amplement la distinction décernée en 2020 par un jury de connaisseurs, sous l’égide de la chaire de Flamencologie et d’Etudes Folkloriques de l’université de Jerez. C’est dire que son art satisfait tous les critères exigibles d’un flamenco conforme aux plus sévères traditions. Or ¡ Viva ! va encore plus loin. Son exclamation, son « vivat ! » reprend bien le verbe que le public andalou laisse échapper dans un cri d’enthousiasme quand la soirée se fait intense, que le cante jondo résonne plus que juste et que la danseuse touche à cette grâce insaisissable, ce fameux duende que chacun ressent sans pouvoir le décrire (pour le trouver, disait Lorca, « il n’existe ni carte ni exercice »). Mais ¡ Viva ! n’est pas qu’un verbe : c’est aussi un adjectif, au féminin singulier. Car tout le spectacle est un hommage à la bailaora,[...]

photo ¡ Viva ! | Manuel Liñán

¡ Viva ! | Manuel Liñán

Danse - Bal - Cabaret, Spectacle

Dijon 21000

Le 08/01/2022

On peut assister à ¡ Viva ! en se laissant porter par l’énergie pure qui s’en dégage. Nul besoin d’être spécialiste pour être saisi : la danse gitane porte en elle une part immédiate d’universel. L’élégance, la puissance de la composition de Manuel Liñán (encore peu connu en France mais déjà salué en Espagne comme l’un des nouveaux maîtres du genre) justifient amplement la distinction décernée en 2020 par un jury de connaisseurs, sous l’égide de la chaire de Flamencologie et d’Etudes Folkloriques de l’université de Jerez. C’est dire que son art satisfait tous les critères exigibles d’un flamenco conforme aux plus sévères traditions. Or ¡ Viva ! va encore plus loin. Son exclamation, son « vivat ! » reprend bien le verbe que le public andalou laisse échapper dans un cri d’enthousiasme quand la soirée se fait intense, que le cante jondo résonne plus que juste et que la danseuse touche à cette grâce insaisissable, ce fameux duende que chacun ressent sans pouvoir le décrire (pour le trouver, disait Lorca, « il n’existe ni carte ni exercice »). Mais ¡ Viva ! n’est pas qu’un verbe : c’est aussi un adjectif, au féminin singulier. Car tout le spectacle est un hommage à la bailaora,[...]